La prudence de Popper

La prudence de Popper

Basé sur Popper, l’étiquette d’une idée technologique est de savoir si elle peut ou non faire des prophéties qui, en théorie, peuvent aider à la falsifier. Plus une hypothèse contribue à faire de grandes prophéties, «mieux c’est». Ce falsificationnisme est une composante de la réaction de Popper à ce qu’il appelle le «mythe de l’induction». L’induction, telle que Hume, est le moyen d’arriver à des concepts, des réglementations ou des généralisations en remarquant des régularités dans l’expérience pratique. Mais Popper confirme avec Hume, que toute généralisation va au-delà des preuves potentielles. Aucune variété d’instances notées de certains A obtenant la maison B ne permet de conclure que la plupart des A obtiennent cette propriété. Un seul n’observe jamais tout ce qui concerne Justifier ce résumé. La réponse de Popper à ce problème est fondée sur l’état selon lequel cette caractérisation suppose d’abord à tort que les généralisations scientifiques sont des conclusions; et ensuite, ne parvient pas à illustrer correctement ce processus dans lequel les scientifiques commencent à développer des hypothèses. Contrairement aux généralisations étant des conclusions inférées à partir de preuves, elles peuvent avoir la position rationnelle, insiste Popper, des conjectures. Ce sont des hypothèses provisoires mises à l’épreuve, pour ainsi dire, «dans la cour de l’expérience». La difficulté d’induction de Hume disparaît car les généralisations ne sont généralement pas supportées ou validées par l’observation. Au contraire, les généralisations sont logiquement antérieures, devenant la toute première conjecture et après cela éventuellement réfutées par l’expérience (par exemple, lorsque certains A sont remarqués qui manquent dans la propriété B), ou survivent pour attendre des observations supplémentaires des A. L’expérience ne peut jamais vérifier qu’une hypothèse est vraie, elle ne fait que la falsifier. Les généralisations sont d’abord conjecturées, puis tenues autant que l’examen de l’expertise pour la réfutation. Des experts ont rapporté que la théorie personnelle de Popper utilise implicitement la pensée inductive. Le point de vue de Popper est le fait qu’un seul contre-exemple d’une hypothèse suffit à la falsifier. Mais cela semble généralement supposer que l’induction est fiable, sinon une idée falsifiée maintenant proche pourrait encore se révéler plus tard. Bien sûr, Popper doit directement déclarer que les généralisations généralisées, telles que «Tous les A sont B» sont montrées fausses à l’occasion de tout A qui n’est pas B; mais il est vrai que son concept de falsification s’applique aux concepts scientifiques dans leur ensemble, pas seulement aux déclarations universelles. En outre, une instance qui falsifie «Tous les A sont des B» confirme également l’idée «Certains A sont des B». Le raisonnement de la falsification et de la confirmation ne peut pas être divisé, comme Popper l’a imaginé. Étroitement liée à la conception de Popper de la recherche comme génératrice de théories capables de falsification, sa frappe sur la dialectique de Marx et Hegel. Ce type de «théories» semble être une défense contre la falsification empirique, car toute rencontre peut être prise en compte par une présentation idéale dans la doctrine. C’est vraiment fou, selon Popper, que le marxisme promet clairement de devenir une «science». Pour des raisons très similaires, Popper est aussi cinglant à la fois contre Platon et Freud, en tant qu’opposants dans la «société ouverte». Finalement, l’influence de Popper est devenue vitale pour faire avancer de nombreux arguments dans la philosophie de la recherche, et a aidé à mener les travaux de Lakatos, Kuhn et Feyerabend.